Lors du vote de cette contribution de 300 millions de francs à «l’instrument de soutien financier à la gestion des frontières et à la politique des visas (IGFV)», l’UDC s’y est opposée par principe comme à tout ce qui concerne «Schengen». Face aux craintes avancées par des ONG – comme le collectif Liberté et mouvement pour tous.tes, citée par Le Courrier – d’une hausse de la répression et de l’isolement de l’Europe, les Vert.es et quelques socialistes se sont abstenus, «tiraillés entre la volonté de se montrer soidaires avec les pays aux frontières de l’Europe et le constat d’une politique qui criminalise la migration», poursuit le quotidien genevois. «Il est compliquer d’accuser à priori leur utilisation mais nous devons redoubler de vigilance et demander des comptes lorsque des ONG dénoncent des abus», explique le conseiller national Nicolas Walder (Vert.es/GE) au Courrier.

>> Lire l’article du Courrier (payant, 24.07.2024)