«Les critiques contre le chef de l’UNRWA n’ont pas lieu d’être»
Auditionné par la Commission de politique extérieure, le patron suisse de l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens (UNRWA) Philippe Lazzarini, a répondu aux attentes et aux questions de parlementaires, selon la gauche. La droite demande toujours des garanties pour assurer le financement.
En pleine crise entre le Hamas et Israël, la Commission de politique extérieure du Conseil national a auditionné à Berne la présidente du CICR ainsi que le chef – suisse – de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) dans le but de pouvoir se prononcer sur le maintien de l’aide suisse à cette structure. L’UNRWA est la cible privilégiée du pouvoir israélien depuis janvier en particulier et ses «allégations faisant état de 12 employés impliqués dans les attaques terroristes du Hamas du 7 octobre», rappelle Le Temps le 27 mars.
But de l’audition: permettre à la CPE de s’informer avant de suivre ou pas le mouvement amorcé par des pays nordiques, le Canada et plus récemment l’Allemagne de reprendre leur financement de cette structure face aux criants besoin d’aide dans la région doublé du manque de preuve. Membre de la CPE, Nicolas Walder a fait savoir au Temps que la Commission avait obtenu d’un Philippe Lazzarini «stoïque» et «droit dans ses bottes» les réponses à toutes ses questions. (…)
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