A la tribune du Conseil national, Nicolas Walder a défendu la Stratégie coopération internationale 2025-2028 de la Confédération en soulignant comment l’aide humanitaire et l’assistance au développement permettent à la Suisse non seulement de contribuer à […]

Déplorant le manque d’engagement du Conseil fédéral pour placer notre pays au coeur des enjeux environnementaux, le canton de Genève propose que la Suisse se porte candidate à l’organisation à Genève d’une conférence mondiale sur le climat (COP). […]

Nicolas Walder défend devant le Conseil national sa motion demandant une application cohérente des sanctions envers tous les acteurs du conflit qui ont violé le droit international, seule boussole pour agir.

Le Conseil national a voté la suspension de toute aide financière de la Suisse à l’institution onusienne chargée des réfugiés palestiniens, ce qui pourrait avoir des conséquences dramatiques pour des millions de civils déjà très fragilisés par la guerre.

Le Conseil national a adopté une motion demandant une réforme de l’aide aux réfugiés palestiniens sur la base de griefs supposés et non prouvés imputés à l’UNRWA.

Après 40’000 morts à Gaza, Les Vert·es, via un communiqué, exigent qu’Ignazio Cassis sorte de son silence et fasse respecter le droit international. Le conseiller national genevois Nicolas Walder s’explique dans Le Courrier.

Le retour du double nom de famille est retardé. Mené par l’UDC et le Centre aidés par le PLR, le National a renvoyé en commission le projet lancé en 2017 après le constat de la réforme de 2013.

Au nom de la Commission de politique extérieure, Nicolas Walder a salué le Rapport de politique économique extérieure pour l’activité 2023 de la Suisse.

Avant même le dramatique événement de Zurich, mais suite à la nette hausse des actes antisémites en Suisse en 2023, la Commission de politique extérieure demande au Conseil fédéral d’évaluer leurseffets sur la politique étrangère de la Confédération.

Face aux tentatives de durcissement du droit pénal des mineurs, Nicolas Walder défend la position favorable au maintien d’une évaluation annuelle du jeune en détention, et non tous les trois ans, qui pourrait lui faire perdre espoir et envie de s’améliorer.