Vous les avez sans doute vus dans les médias, ces couples suisses partis en catastrophe récupérer leur bébé en Ukraine. La guerre a mis en lumière une pratique bien cachée jusque-là, celle des mères porteuses. Contrairement à Berne, Kiev autorise la gestation pour autrui, uniquement pour les couples hétérosexuels mariés. Le pays est d’ailleurs le 2e choix le plus populaire des Suisses après les États-Unis, mais devant le Canada.
Bien que taboue, la GPA n’est plus un phénomène anecdotique. À tel point que le nombre d’enfants nés de mères porteuses aurait même dépassé celui des enfants adoptés. (…)
>> Lire la suite de l’article sur le site de la Tribune de Genève (payant, 05.06.2022)