35 Etats se sont réunis en une coalition pour aider les enfants ukrainiens enlevés par la Russie. La Suisse ne veut pas y participer – ce qui suscite l’incompréhension, et pas seulement en Ukraine.La réaction de Nicolas Walder, relève les éditions alémanique et […]

Accueilli pour la première fois dans notre pays, le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé, avec la présidente de la Confédération Viola Amherd, la tenue d’un sommet pour la paix en Suisse. Nicolas Walder, réagit.

Les élus suisses ont ovationné le discours en visioconférence du président ukrainien le 15 juin qui, plutôt que de critiquer la Suisse, la remercie. Ils saluent le doigté de Volodymyr Zelensky, qui souhaite ramener la Confédération dans un rôle de médiateur avec la […]

La Commission des affaires extérieures a proposé un plan d’aide à l’Ukraine doté de 5 milliards de francs pour soutenir l’aide humanitaire, la protection des civils, la promotion de la paix et la reconstruction. Le National a refusé que la Suisse fasse cet […]

Le parti écologiste estime que la Suisse doit considérablement gonfler son assistance en faveur de Kiev, mais en se concentrant sur les domaines civils. Nicolas Walder précise les contours de ce projet d’aide à 5 milliards de francs.

Lors d’un voyage surprise à Kiev, le président de la Confédération, Ignazio Cassis, a rencontré son homologue ukrainien Zelensky. Récit et réactions sur le bien-fondé d’une telle initiative suisse.

Deux mois après avoir annoncé qu’elle appliquait les sanctions européennes, la Suisse est soupçonnée de mauvaise volonté. Les saisies d’actifs restent très modestes. Nicolas Walder répond au Monde.

La commission compétente du Conseil national lève l’immunité de l’élu UDC zurichois Roger Köppel en raison de soupçons sur la violation du secret de fonction. Collègue écologiste au Parlement, Nicolas Walder répond au Temps.

L’invasion de l’Ukraine est aussi illégitime que douloureuse et nous rappelle combien les droits humains, la démocratie et l’Etat de droit ne sont pas acquis.

Dans le sillage des mesures prises dans le cadre de la guerre en Ukraine, la gauche veut muscler le système qui encadre les sanctions suisses.